Wind4life en nav

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winD4life

Un tour de l'Atlantique en famille pendant un an à bord de notre voilier winD4life, un Sun Odyssey 42.1 de 1994.
Un projet de vie... Une aventure qui commence...
Bonne lecture,
Nicolas, Yaël, Yanic et Lola


vendredi 25 novembre 2016

Visite de Sao Nicolau

25-11-2016
On arrive tous, Thalita, Zanzibar et nous sur la plage de la ville de Tarrafal et une ribambelle d’enfants viennent nous aider à remonter les annexes sur la plage. Ils sont tous hyper motivés à faire le gardien d’annexes pour la journée et on joue le jeu bien évidemment. Pour 1 euro, il garde ton annexe sur la plage et pour 20 cent il jette ton sac poubelle. On retrouve une île bien plus verte et montagneuse que les autres. On retrouve un peu les ambiances Canariennes.
On part faire une balade au départ de Cachaço qui nous mène par un sentier en descente jusqu’à Ribeira Brava. C’est une très joli vallée verdoyante où l’on croise que des locaux et des jeunes en marche vers l’école. J’ai quelques crayons de couleurs que j’avais acheté à Sal, que Lola distribue aux écoliers que l’on croise. Lola me dit: » Maman, c’est fou qu’ils soient si contents de recevoir des crayons, alors que chez nous c’est normal d’avoir des crayons. » Yesss! On revient toujours à ces mêmes valeurs de bases que nous voudrions tellement faire passer à nos enfants hyper gâtés. Missions presque réussie.







Arrivé au village de Ribeira Brava, on mange dans le seul petit resto du coin, dans une maison rose et violette. On est accueilli par une mami toute gentille et on s’installe à une grande tablée, dressée avec de la vaisselle de grands-mères où nous avons l’impression de partager un repas de famille chez nos grands parents. Au menu, thon, poulet et burger avec riz, frites et crudités. On s’est régalés!
C’est l’heure de retourner au mouillage et on prend la navette locale à 13 mais qui se rempli au fur et à mesure avec des locaux, qui s’entassent dans le van à chaque arrêt. On est serrés comme des sardines, mais « no stress », il y a de la place pour tous le monde (collé au plafond, sous les sièges et pourquoi pas sur le toit finalement). J’apprécie ces moments d’exotisme que nous ne pouvons plus retrouver chez nous tellement nous vivons dans des vies procédurières.



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