Le feuilleton continue au Portugal

7-9-16  au  8-9-16
Auteur Yaël

On accoste pas très tard sur le ponton à Viana do Castello, de nouveau en grosse partie au moteur. Adios, Espana! A nous le Portugal… Très bon accueil, je dois dire que les manoeuvres d’amarrage sont d’une simplicité au plus on descend vers le sud. On ne doit plus sauter sur le ponton, il suffit de faire un beau lancé d’amarre à 2 personnes qui t’attendent sur le quai et le tour est joué. Quel luxe! C’est juste les enfants qui trouvent ça moins drôle… « On peut jamais rien faire alors, maman! »
On y restera 2 nuits.
Après les cours des enfants la matinée, on part faire la visite de la ville. Ville plutôt charmante, une jolie cathédrale sur les hauteurs et surtout nous goûtons aux spécialités Portugaises. Une petite Pasteleria dans une petite ruelle nous fait de l’oeil. On est tombé sur la meilleure de la ville, je pense. Que de bonnes pastel de nata à toutes les sauces. Ce sera notre encas, après la visite de la cathédrale qui est accessible soit par des escaliers de 600 marches ou soit en funiculaire. On coupe la poire en 2, l’aller en funiculaire, le retour à pied. Après, nous faisons la visite du bateau « Gill Aennes » pour les enfants et ces visites nous servirons à la matières scolaire pour demain. Journée paisible.
Le soir, c’est une soirée au bar de la Marina avec full WIFI et enfin je profite de mettre la suite du feuilleton sur le blog. Juste pour vous dire qu’à priori je déteste les feuilletons mais j’aime bien les écrire. J’écris ces mémoires surtout pour moi. Pour occuper peut-être un jour mes vieux jours sur notre OVNI au milieu des mers glacées, au milieu du pacifique entourée de dauphins et surtout avec mon fidèle vieux loup de mer à mes côté! Aurais-je annoncé déjà notre prochain projet? Au fait, j’aime le passé, le présent et le futur. Je suis une nostalgique et j’aime revivre des émotions, j’aime VIVRE tout simplement! D’ici là, je publie volontiers mon carnet de bord sur la toile, tout en sachant que ça emmerde sûrement certains, mais ça en amuse et inspire peut-être d’autres.